Poutine marine
Voyageuse majestueuse au grés des flots ou échouée et agonisante sur le rivage?
Une poutine, pour mon immense fanclub outre-mer, c’est constitué de frites bien grasses, de fromage en crottes qui fait «kwix kwix» entre les dents et de sauce brune au glutamate et autres poisons quotidiens. Idéalement, c’est dans une barquette de styromousse que tu planques dans ton manteau pour rentrer chez toi par moins quarante.
Surpêche & destruction des habitats
Pour les Québécois et les Canadiens qui mangent du poisson et se perturbent quant au funeste destin que concocte notre espèce pour les écosystèmes marins, il existe plusieurs solutions. Les plus simples sont les suivantes :
Se référer à la liste rouge de Greenpeace, le lien est ICI.
Une espèce y est ajoutée parce que sa méthode de pêche ou de production a des conséquences négatives sur l’espèce elle-même, sur d’autres espèces marines ou sur certaines populations ou bien qu’elle entraîne la détérioration d’un écosystème, qu’elle est mal gérée ou qu’elle est pêchée de façon illégale.
Parmi les espèces de la Liste rouge, certains stocks de poissons ou fruits de mer peuvent être exploités de façon plus durable que la moyenne. Par exemple, l’espadon pêché au harpon est préférable à celui pêché avec des lignes de fond. En pareil cas, les chaînes et les détaillants doivent l’indiquer sur leurs étiquettes et s’assurer de la traçabilité de leurs produits. Les espèces ne figurant pas sur la Liste rouge ne proviennent pas nécessairement de méthodes de pêche ou d’élevage durables.
Son seul inconvénient c’est qu’il n’y a pas de liste verte… Alors c’est parfois un peu casse-tête.
Sinon, y’a Sea Choice, ci-dessous… Désolé c’est en Engliche.