L’art de faire mousser les futilités

mars 15th, 2013
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L’art de montrer les insignifiances

Le contexte économique incertain et les menaces de coupures de postes ont un impact négatif sur les journalistes et les caricaturistes qui peuvent être tentés de s’autocensurer et de favoriser les nouvelles à sensation pour survivre. La liberté d’expression est-elle possible dans un contexte économique difficile?
Bien glamour le petit couple, non? Pour le bonhomme, je me suis à la fois inspiré de Beau-cul-belle-gueule Trudeau et de Jean Sarkozy, le fils à son père. Bref, deux fils arrivistes. Pour un illustrateur dit «éditorial», tâter de la frilosité qu’engendre la fragilité économique est chose courante. Pour sauver notre cul on devient comme les autres, des chiens de garde, ou alors on brette sur un blog anonyme. L’info aseptisée permet au troupeau «dérouté» de rester tranquille. L’oligarchie, qui n’aime pas l’odeur de la poudre, en est bien consciente.

Ce que j’aimerais nous offrir…
– La suite du Maraîcher Masqué – dont les premières aventures constituent la page la plus populaire du site, si l’on se fit à Fèces-book;
– Harper, un visiteur venu de l’espace (j’en causais dans l’entrevue avec Lez Arts);
– Le nouveau pape et autres catholiqueries;
– Le bureau Canadiens des religions;
– La suite des ébats de la Reine et du Bonhomme Carnaval;
– «Du haut du mur» de Louis XVI aux oligarques du XXIème…
  L’«anartiste» et la machine;
–  Lisée knock out par la droite;
– Le flushage d’Idle no More;
– La peine de mort
 
Tout ça, pour pas un rond, tant que je peux, et éviter de sombrer dans une folie pire que celle qui m’habite déjà.

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