Le caca nerveux de Bérard

juillet 4th, 2020
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Au cours de la semaine, j’ai été submergé par un flot de haine sans précédent. Je me penche ici sur le cas du type qui a sciemment réveillé les meutes. Dujardin grattouillera le vernis de ce messie boboïde. Doyon examinera l’obsession de la «race» propre aux nouveaux «apôtres de la vertu». Enfin, Lionel Lévesque donnera un aperçu de leurs tactiques d’intimidation. Le tout parsemé de dessins. Nous serons brefs.

Frédéric Bérard est un chroniqueur au Journal Métro, un «gratuit» De Montréal. Il est tellement brillant qu’il a même sa page Wikipédia! Du coup, on l’invite ça et là. On peu voir sa face de suc’ à crème à TVA, à l’émission de Denis Levesque. Bref, en dehors des cercles bobos, c’est un illustre inconnu.

Partisan de la gauche intersectionnelle (celle qui nous parle de safe spaces, d’appropriation culturelle, de mansplaining, d’écriture inclusive, de blanchitude, de privilège blanc, de racisme systémique au Québec, celle qui taxe tout le monde de raciste, celle qui tronque la laïcité de son sens, bref la gauche fort peu proudhonienne de QS), il se montre volontiers hautain, pédant et condescendant, agitant ses petits diplômes et méprisant les bouseux de la plèbe. Que vous soyez relativement anonyme et hors Montréal n’y changera rien, pour peu que vous fassiez mouche en le critiquant, ce petit général Wolfe à l’humour anémique vous livrera en pâtures aux meutes d’antifas qui gravitent autour de son chum, le fabulateur-diffamateur-doxeur «Gorlo» (le prof de philo à tête d’œuf, celui dont on n’ose prononcer le nom, celui que Radio-Cadenas considère comme un spécialiste de «l’extrême droite»). Wolfe et Gorlo vous qualifieront selon les circonstances de «ti-coune» ou «d’identitaire raciste de droite». Une tactique de malotru qui dispense de réfléchir.

Bérard et les siens propagent une idéologie étazunienne infantilisante pour les immigrants et nuisible au peuple québecois dans sa dimension collective (celle qui fait fi de la teneur en mélanine des cellules épithéliale des citoyens – ce qui ne signifie pas pour autant nier l’existence, comme dans toute société, de discrimination).

Qui sait, peut-être qu’un jour, quand il sera devenu sénateur, on exhumera des photos d’Halloween de Bérard déguisé en «race» – comme pour Trudeau, cet autre racialiste full photogénique.

Bérard est un… Par Dujardin

Il y a peu, le copain Aprilus sortait une série de caricatures pour dénoncer ce nouveau courant politique mettant de l’avant nos différences, collant sur chaque citoyen une étiquette afin d’établir une échelle des privilèges permettant l’orientation des politiques publiques, sous prétexte de lutter contre le racisme. Ses dessins demandaient un effort d’analyse et un contexte pour être compris, j’en conviens. Le premier degré n’était pas de mise.

Étant donné qu’ils reprenaient les principes de différenciation ethnoculturelle tel que défendu par ces militants se prétendant antiracistes, décoloniaux et progressistes, le plus souvent de bonne foi je n’en doute pas, il ne fut pas étonnant que ceux-ci y voient à leur tour du racisme.

En effet, quand on considère un citoyen uniquement sous l’angle de sa couleur, de son ethnie, de sa religion, la pente glissante n’est pas loin, de l’essentialisation au racisme, c’est la porte à côté. Mais dans ce cas, Aprilus leur tendait un miroir, et pour reprendre la belle phrase de Philippe Noiret à la sortie du film La grande bouffe (1973) : « Nous tendions un miroir aux gens et ils n’ont pas aimé se voir dedans. C’est révélateur d’une grande connerie. »

Ça n’a pas loupé … la connerie ! Un torrent d’insultes, d’accusations rapides et péremptoires, lui tombait dessus : raciste, gros con, consanguin, transphobe, nazillon et j’en passe. C’est à ce moment qu’Aprilus a commis une grosse erreur. Il a tenté de s’expliquer. Tu ne te justifies jamais devant un torrent d’émotions et de haine. Ce n’est pas le moment. Soit tu fais le mort, soit tu reviens pour passer la deuxième couche si tu es taquin. Je sais, c’est un monde difficile. Falardeau le disait, c’est un match de boxe, tu donnes des coups et tu en prends.

On avait là du tout-venant, mais aussi quelques vedettes, des champions bien connus du milieu inclusif montréalais, bien souvent la crème, instruits, avec du bagage, pas des bleus. Du docteur en veux-tu, du prof universitaire en voilà. Des discussions se sont engagées. C’est devenu un festival de la bêtise. Si au moins ces gens avaient utilisé une répartie instructive, afin d’élever les réflexions permettant ainsi d’amener une prise de conscience, montant le débat à un autre niveau, démontrant avec moults arguments percutants qu’Aprilus avait là, commis une faute, éventuellement involontaire. Rappeler à l’ordre quelqu’un n’est pas un mal, on peut tous échapper parfois le ballon. Mais non, c’était la fête à l’attaque personnelle, l’homme de paille, et toute la série des sophismes les plus éculés, pour ne pas dire d’enculés ! Et oui, moi aussi je sais manier les gros mots à l’occasion. J’ai eu droit personnellement à un échange avec le docteur Bérard, grand savant de son état. Il a commencé par me traiter de patriote ! Ensuite de patriote auto-proclamé … pour finir par un « Nain de jardin » bien senti. C’est dur … j’ai eu du mal à m’en remettre.

J’avoue que de voir cet environnementaliste du dimanche certifié Équiterre, de ceux qui surfent sur la vague en Porsche pour venir nous dire que la planète est en train de s’auto-carboniser et que ce n’est pas le temps de faire la chasse aux signes religieux, qu’il y a urgence, donc je disais ce roi du révisionnisme historique bon teint, ce manipulateur de la « fakenews » de compétition, ce champion des discours de peur sur les heures sombres de notre histoire, ce petit illusionniste du progressisme, ce narcissique aux chroniques flatulesques et pompières, cette insulte à l’intelligence collective, cet artisan de la billevesée et de la calembredaine, ce dealer de néologismes, venir nous faire un discours sur l’intégrité et la novlangue, c’est un truc à vous laisser pantoite comme une actinie échouée sur une plage au soleil.

Rien de gratuit dans tout ce que je viens de vous écrire, ce n’est pas le genre de la maison. J’ai eu la mauvaise idée d’aller lire quelques-uns de ses torchons (n’ayons pas peur des mots) pour préparer ce texte … c’est ÇA qui ose critiquer Martineau ? Excusez-moi, je dois ramasser ma mâchoire qui vient de choir sur le sol. Parce que si c’est cela qui se considère de l’élite progressiste qui est censé nous éclairer, éteignez tout de suite la lumière, c’est foutu, on est mort ! Pas un paragraphe sur des sujets sociologiques ou politiques ayant rapport à la laïcité, le racisme, le vivre ensemble, sans que je ne relève une bêtise sans nom, une fausse nouvelle, des appels aux plus basses émotions afin de ferrer le lecteur ingénu qui goberait ce ramassis de lieux communs.

Nous avons le droit à un pot-pourri de projections. Ce monsieur baigne dans la novlangue et accuse les autres d’en utiliser. Il reprend 1984 d’Orwell, la guerre c’est la paix, prétendant que ceux qu’il dénonce baignent dans ce genre de discours (il force naturellement les amalgames foireux et associations hasardeuses entre individus pour s’en sortir), tandis qu’il est le premier à nous expliquer que le voile est un combat pour la liberté et réinvente au passage la langue française pour faire coïncider ses théories fumantes avec les mots ! Vous vous souvenez, il ne faut pas perdre son temps en niaiseries parce que la planète se meurt … ah mais elle peut attendre la terre, cela ne l’empêche pas de sortir en rafale des articles sur un même sujet, comme un monomaniaque, le tout soupoudré de dogmes multiculturels à prendre comme des vérités vraies et une idéologie racialiste telle que dénoncée par Kamel Bencheikh .

Ces gens ont, pour le moment, le vent en poupe, ils profitent d’une conjoncture où des débats sociaux font rage en occident, avec un fort courant nous venant des universités américaines et se rendant jusqu’en Europe. L’affaire Floyd a eu un effet dopant sur ces inquisiteurs « antiracistes », ces nouveaux curés de l’ordre moral. C’est une marque comme sur un pot de yogourt, c’est bio, c’est santé, mais ce n’est certainement pas « La Liberté » que ces gens défendent. Ce sont au mieux des petits narcissiques qui profitent de moments tragiques pour être en haut de l’affiche, au pire des petits manipulateurs parasitant la misère du monde pour faire mousser leurs intérêts personnels. Ce ne sont pas les amis du peuple, encore moins des « racisés » envers lesquels ils se comportent comme des bons missionnaires blancs du temps des colonies, allant au secours du sauvage au nom de la civilisation.

Fais attention, Bérard, tu es sur une pente savoveu … sevonneu … savonneuse aujourd’hui !

*Ci-dessous, référence à l’affaire Ricochet-Martineau :

Une poutre de racisme dans l’œil d’un antiraciste par François Doyon

Quand tu juges les autres alors que tu fais comme eux, tu te condamnes toi-même.

– Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains (2, 1)

Aprilus s’est fait accuser de racisme par grand docteur de la Loi Frédéric Bérard pour avoir « comparé » une personne dite de gauche à la peau noire à une barre de chocolat. Tout le Sahédrin inclusif des médias sociaux s’est alors jeté sur Aprilus pour l’abreuver d’injures et exiger son exposition au bois de justice de Gorlot. Note pour les idiots : Aprilus voulait dénoncer avec son collage l’obsession des zinclusifs pour la couleur de la peau des humains, une obsession qu’ils partagent avec toutes les charognes racistes qui rampent sur cette misérable planète.

Voici des exemples de cette obsession racialiste dans les milieux de gauche :

Lido Pimienta, une chanteuse canadienne queer d’origine afro-colombienne qui demande à son public de se séparer : les hommes à l’arrière, les femmes à l’avant, les femmes « de couleur » devant les femmes blanches… Un photographe qui a refusé cette ségrégation raciale s’est fait accuser de racisme…

L’actrice Zoe Saldana, une « noire » jugée pas assez « noire »accusée par des « antiracistes » de blackface

Le New York Times , qui se considère « progressiste » parce qu’il écrira dorénavant « Noir » avec une majuscule et « blanc » avec une minuscule…

La focalisation sur les différences ethniques, dont on aurait pu penser qu’elle était marque de commerce exclusive de l’extrême droite, s’est propagée dans des milieux se disant de gauche. Cette gauche ethnodifférentialiste se prétend antiraciste, mais ne fait que focaliser sur la couleur des tissus épidermiques des homo sapiens.

Les textes boursouflé à l’ignorance du collectif Québec Inclusif, dont Bérard faisait partie, sont typiques de cette insupportable gauche pharisaïque.

En 2013, le collectif Québec Inclusif a écrit : « Pour nous, appartenir à une minorité devrait nous amener à faire preuve d’empathie et de sensibilité envers nos concitoyens membres d’autres groupes minoritaires qui voient aujourd’hui leurs droits fondamentaux être menacés1. » Pourtant en 2011, Judith Lussier, alors collègue de Bérard au journal Métro et membre de Québec Inclusif, a déploré l’empathie des médias envers un pasteur protestant homophobe : « Cette semaine, sans s’en rendre compte, les médias ont donné le Bon Dieu sans confession à un gars un brin xénophobe qui est contre le mariage gai, contre l’avortement, contre l’euthanasie, mais, bien sûr, pour la liberté2. » Elle critique l’homophobie du pasteur sur un ton condescendant : « Là, c’est le moment où je peux faire mon travail d’éducation et rassurer monsieur Lanthier : non, monsieur Lanthier, le mariage hétérosexuel ne perdra pas de son lustre parce que les homosexuels peuvent eux aussi se marier. Promis. C’est justement parce que l’échangisme c’est mal que l’on veut s’unir pour le meilleur et pour le pire jusqu’à ce que la mort nous sépare. Compris3 ? »

Judith Lussier demande en 2013 ce qu’elle semblait refuser en 2011 : de l’ouverture envers les adeptes d’une religion ! Est-ce que c’est parce que Lanthier est un « québécois de souche française » qu’elle se donne le droit de critiquer ses croyances religieuses ?

Comme son ancienne collègue, le docte Frédéric Bérard est un aveugle conducteur d’aveugles qui croyant pavaner sur la voie de la Justice se précipite dans une fosse de niaiseries. Voici un passage hilarant du célèbre torchon Manifeste pour un Québec inclusif dont il est, notamment avec Judith Lussier, un des auteurs :

« certains parmi nous portons nos divergences culturelles, ethniques et religieuses sur les traits de nos visages et la couleur de notre peau (plusieurs asiatiques sont bouddhistes, par exemple). »

Depuis quand la religion est inscrite naturellement dans le visage ? Depuis quand la religion est génétique ? Les prescriptions du Coran ou du Bouddha ne sont pas écrites en molécules d’ADN. Il est ridicule d’insinuer que la religion est un génotype. Mais aussi absurde soit-elle, l’accusation de racisme a réussi à en contraindre plusieurs à l’autocensure, tant l’accusation de racisme est devenue ignominieuse.

Cette idée d’une inscription naturelle de la religion dans le visage procède d’une ontologisation de la différence aussi débile que l’ontologisation du sang, de la « race », de la destinée… On sait quels extrémismes politiques cela peut mener.

On accuse Aprilus de s’être défendu en disant avoir vécu sur une réserve autochtone. Cet argument serait raciste en soi. Quand, il y a quelques années, Manon Massé a dit à Richard Martineau qu’elle connaissait plusieurs bons musulmans, est-ce que c’était raciste ? À gauche, personne n’a accusé Manon Massé de racisme.

Bref, le discours de la gauche régressive est imprégné de biais racistes qui nuisent à ceux qu’ils prétendent défendre. Ces VertueuxTM se prétendent à gauche, mais ils ne sont que la gauche d’une droite rétrograde : des sépulcres blanchis qui devraient s’examiner eux-mêmes avant de stigmatiser un artiste comme Aprilus.

1 http://quebec-inclusif.org/blog/2013/11/05/opprimer-pour-liberer-de-loppression/

2Judith Lussier, « Éric Lanthier, l’homme qui va t’évangéliser », Urbania, 13 septembre 2011,http://urbania.ca/blog/2442/eric-lanthier-l-homme-qui-va-t-evangeliser.

3 Judith Lussier, « Éric Lanthier, l’homme qui va t’évangéliser », Urbania, 13 septembre 2011,http://urbania.ca/blog/2442/eric-lanthier-l-homme-qui-va-t-evangeliser.

Le doxxing, un sport d’élite. Par Lionel Lévesque

Le Doxxing, un sport d’élite ! Selon l’“Encyclopédie de l’Anarcho-Fascisme” (p. 666) : «Le doxxing est un sport d’élite pratiqué par des petits-bourgeois urbains, qui ont remis à la mode la chasse aux êtres humains qui se pratiquait dans certaines aventures coloniales. À défaut de “primitifs”, ce sont surtout des prolétaires, des individus pauvres et marginalisés, qui ont peu de moyens pour se défendre, qui servent de gibier.

Comme dans la chasse à courre, cette activité sportive, dirigée par un savant doxxeur, commence par la recherche du gibier, avec des limiers tenus en laisse, spécialement entraînés pour flairer le “fâchiste”.

Dès que le gibier est repéré, le doxxeur identifie publiquement le terrier de cet animal, généralement un modeste logement dans un quartier populaire, puis lance un cri rituel : «Alerta ! Antifascista ! On te watche !», avant de lancer la meute des chiens courants à sa poursuite !

C’est au chien de rapport que revient le privilège d’apporter le cadavre du gibier au doxxeur, lequel entonne alors un deuxième cri rituel : «C’est une dénonciation. Le gars est maintenant hors service. Il est fini !»

La chair du gibier, amplement pimentée de mensonges, de déformations des faits et d’interventions anonymes auprès de son employeur, diffamée à souhait, et éventuellement tabassée par une unité de chiens cagoulés, est prête à consommer dans ce qu’on appelle un “festin médiatique”, auquel sont conviés les éléments les plus vertueux de la cité, célébrant une autre “Victoire contre le Fâchisme” !»

Chronologie d’un caca nerveux

Un mème à la con bricolé en 15 minutes :

Je personnifie désormais le racisme grâce à Bérard :

Ne jamais se justifier jamais devant un torrent d’émotions et de haine…

Gorlo s’en mêle et me «définit». C’est tellement débile et plein de faussetés qu’on ne va pas s’attarder à décrypter. Ceux qui me connaissent pourront rigoler :

Sur les caricatures odieuses d’Aprilus, repartagées par Roméo Bouchard
Plusieurs amis.es m’ont écrit aujourd’hui pour savoir qui est ce fameux « Aprilus », qui banalise le racisme en comparant par exemple le chroniqueur Fabrice Vil à une barre de chocolat? Il s’agit d’un ex gauchiste, comme tant d’autres, qui a pris le virage identitaire dans le sillage des débats sur la Charte des valeurs en 2013-2014. Aprilus publiait alors dans la revue progressiste « À Bâbord ». Il a aussi contribué au magazine en ligne « Le Québécois », jusqu’à ce qu’il se fasse virer en avril 2018, pour ses illustrations « au contenu dégradant ». Ses caricatures ont été retirées du site. Aprilus poursuit son travail dégoûtant dans le web-média réactionnaire «Discernement », qui défend des positions anti-féministes, transphobes, anti-gauche et défend l’extrême-droite. Au cours des années, ce caricaturiste a été le collaborateur privilégié du professeur François Doyon, pour leur harcèlement constant contre des individus comme Anarchopanda et moi-même. Leur acharnement et leur méchanceté étaient sans limite. Je n’ai jamais trop compris s’ils cherchaient à pousser leurs victimes au désespoir, ou un truc du genre. C’était vraiment intense. Roméo Bouchard – lui aussi un ex gauchiste devenu un enragé identitaire – affectionne l’œuvre d’Aprilus, le partageant à intervalle régulier. Il est frappant de voir ces gens, qui avaient de la compassion pour les minorités, être devenus aussi haineux après avoir embrassé le délire islamophobe des années 2010’. Espérons que dans la décennie à venir, l’islamophobie, l’identitarisme et le trumpisme s’estomperont, pour lentement disparaître.

NE JAMAIS SE JUSTIFIER DEVANT UN TORRENT D’ÉMOTIONS ET DE HAINE :

Et pourtant… Bérard y est allé de sa petite chronique pour montrer qu’en dépit des insultes et des grossièretés qu’il a distribué à tous vents, il est un grand intellectuel. Son billet s’intitule «Comme un mauvais film». L’allusion à Orwell qu’il y fait est tellement foireuse que je n’ai pu m’empêcher de penser au bouquin de Michel Onfray. Théorie de la dictature : 
«(…) le progressisme moderne est devenu un nihilisme dont la marche inéluctable et triomphante se décline en quelques commandements inspirés des écrits d’Orwell». Les voici :
– détruire la liberté ;
– appauvrir la langue ;
– abolir la vérité ;
– supprimer l’histoire ;
– nier la nature ;
– propager la haine ;
– aspirer à l’Empire.


Miroir, miroir.

Je suis épuisé. Et ces hurluberlus sont carrément flippants. Vous savez quoi? Je vais avoir un chiot. Ça m’occupera et ça m’évitera de me cultiver des tumeurs. Chu juste un p’tit monsieur qui dessine des p’tits Mickeys. Merci à ceux, nombreux, qui m’ont soutenu. Merci à Dujardin, Doyon & Lévesque, mes frères★ Lecteurs, lectrices, MERCI d’être là. J’espère que ça t’a plu ou autrement que ça t’as apporté un petit quelque chose. Tu peux visiter ma page de «DONS» (t’y trouveras un aperçu de la valeur d’un billet comme celui que je viens de t’offrir). Te gêne pas, comme ça je pourrai offrir la pinte à mes collaborateurs!

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7 réponses à Le caca nerveux de Bérard

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